J'étais rentré de mon escapade pour te retrouver, cher journal. J'avais rencontrer Yeko, le beau félin. Mais il fallait que je retrouve mon ami. Ma Perchoir. Je me sentais triste et perdu sinon. Donc j'avais dit adieu à mon petit Yeko pour retourner vers ma Perchoir préféré. Je l'avais retrouver et on s'était mis en route. On marchais de puis pas mal de temps. On avait vus des paysage blanc parsemer de neige. Que d'ailleurs, j'ai aimer goûter et me rouler dedans. Elle était douce. Froide. Calme. C'était merveilleux. Ça ne me rappelais rien de ce que j'avais vus étant petit. Elle saupoudrait les montagnes, comme du sucre saupoudrer un gâteau. C'était magique. Je n'ai jamais vus quelque chose comme ça. Ça me donner un sensation de calme absolu. Mon, je vous l'accorde, c'était froid, et j'ai attraper un rhume. Mais je voudrais pour rien au monde rater ça si j'avais la chance de refaire !
On a parcourut pas mal de distance et vus pas mal de paysage. De la grande forêt de taïga, au dessert russe border de rouge et d'orange. J'ai vus la mer aussi. Cette grande étendu bleu, largue. Presque immortelle. Magnifique. J'ai vus beaucoup de chose. Très belle d’ailleurs. J'en suis heureux. C'est un rêve pour moi qui est devenu réalité grasse a elle. À Awigen.
Ça faisait donc un bout de temps que l'on parcourait le monde. Perchait sur sa tête. Mais... Je commençais à me demander si on était pas perdu. Ça serait normal pour Awigen, car elle est l'orientation ça fais deux. Je ne l'insulte pas ! Je dis ce qui est réelle. Je ne mens pas souvent vous savez. Je croix, que je n'ai jamais mentis. Et c'est pas maintenant que je mis mettrai, et pour les insultes, même partie. Oui donc, je disais que je croix que l'on est perdu. Je dis pas que j'ai un bon sens de l'orientation, mais un ara, ça sait ce repéré en principe. Enfin, je croix ? Après tout je sais voler et on dit que les oiseaux on une boussole dans la tête. Façon de parler hein. Mais là, je suis perdu moi aussi. Et Awi' commence à fatiguer. Et bizarrement, je trouve paysage presque trop silencieux. Inquiétant. Alors qu'il n'a rien de cela...
On ce trouve dans une forêt pour le moins étrange. Avec un sol chaud et mou, dont les pattes d'Awigen qui s'enfonce dedans. Le sol n'a pas l'air trop sale. Oui cette remarque est étrange. Mais en plus le sol sens bon ! Je ne sais pas quoi, mais ça sens bon. D'ailleurs, je pense que j’aimerais bien dormir dessus. Il doit y avoir des sources chaude pas loin. J'en ai entendu parler par intermédiaire de Julien, étant plus jeune. Il y a aussi des branches vertes qui sorte du sol, avec des feuilles allongés. J'aime bien c'est chose. Avant de me posé sur Awigen, j'en avait mâchouiller quelque une avec mon bec. Et je pense que j'en ramènerais un bout. Pour toi cher journal.
Les rayons du soleil passé entre les arbres minces. Je n'osais pas demander leur nom à Awigen de peu de paraître stupide. On était en début d'après midi et il fessait déjà assez chaud. Mais pas plus que ça pour moi. Quand Awigen s'assoie pour ce reposait, je tourne la tête interloquer.
Elle a l'air crevé... Je devrais lui demandais si elle veut que je continus par la voie des airs...
Mais je n'eus pas le temps de lui demander qu'elle me dit, fatiguer de voix :

- Dis, Atl', c'est quand qu'on va retrouver Mash' ?

Ah. On est bien perdu alors. Zut...
Quand d'un coup, j’entends un bruissement de feuille. Mais, bizarrement, je ne suis pas rassuré. Pas du tout. J'ai un mauvais pressentiment...
Et j'ai raisons... Je vois une forme rousse me sautais dessus. Mes deux ailes se retrouve coincé sous ses griffes pointus. Je remarque qu'elle a les yeux vairon et que c'est une renarde argentée ? Étrange couleur pour une renarde argentée... Mais le temps n'est pas au description. Alors je me débat, mais rien ne la fais me lâchais. Je commence à me demander si je vais mourir. Alors je me mais à poussait d'étrange vocalise d'appel au secoure. Mais toujours rien. Elle me sourit et ce prépare à me croquer quand j'entends derrière moi Awigen :

- Eh !

Je profite de ce détournement pour lui mordre le museau, mais juste histoire qu'elle me laisse. Malheureusement, il coule quand même quelque goutte vermeil. Je sens qu'elle ne va pas aimer... Et merde...

Une fois extirpais de la gueule de la renarde, Awigen m'attrapa pour m'aider. Je volais faiblement, encore apeurais et me cachais derrière elle, au niveau de son cou, juste les yeux qui dépasse du lot, pile poil entre les oreilles. Je la cramponnais assez fort, à cause de la peur. Mais pas non plus au point de lui faire mal ou de la blesser. Je remarquais que la renarde ne saigner pas qu'au museau, mais aussi à la queue. Awi' avais du lui faire mal pour qu'elle me lâche. J'étais effrayé par son cris de douleur, qui n'étais pas très rassurent.
Elle s'arrêta. Elle ramena sa queue entre c'est patte arrière fine, passa sa patte avant droite sur son museau maintenant vermeil par le sang, et poussa un glapissement de fureur en regardant les quelque goûte sur son museau. Bon, je ne pence pas qu'elle devrait avoir de cicatrice... Je pense pas... Soudain, je commençais à relever ma tête pour l'observer attentivement, comme un reflex naturel chez moi. Je remarquais qu'elle était rousse flamme, flamme de cheminer. Comme Awigen avec ses yeux. Au premier abord. Puis je voyais que ses fines pattes, avant et arrière, ainsi que son oreille droite et son museau sont chevauché de noir à reflet marron très brièvement doré au soleil. Comme le bois qui brûle, de ses doux crépitement doré. Son ventre et son poitrail jusqu'à sa mâchoire inférieure sont d'un blanc hivernal très fraternel pour moi. Comme la neige qui tombait lors de notre passage passé avec Awigen pour arriver ici. Sa queue aussi est blanche, ainsi que son oreille gauche et le bout de c'est doigt. Ce qui lui donnais une allure fine. Enfin, elle est fine ! Mais ce que j'aimais le plus c'est c'est belle couleur, comme si elle était en grande flamme qui brûle sur du bois posé sur de la neige, ce sont c'est yeux. Son œil droit est d'un bleu majestueux, comme les mien, mais légèrement plus foncé. Comme de l'eau. Magnifique. Et son œil gauche lui, et couleur d'ambre avec de beau reflet d'or. Je n'ai jamais entendu parler de cette pathologie... Est-ce normal pour elle ? Mais elle reste tout de même majestueuse. Comme une flamme vigoureuse et fine qui brûle sur le bois mort posé sur la blanche est douce neige, accompagné de deux petit papillon, un jaune ambre, et un autre bleu ciel. Très belle renarde.

- C'est mon ami, il n'est pas à manger. Ne vous fâchez pas pour votre queue, j'en suis sincèrement désolée !

Je reviens à la réalité en quelque faction de seconde, pour ne pas finis par avoir mal au yeux à force de la fixé sans cligné des yeux et aussi car je venais d'entendre la voix de mon amie. Elle se tourna vers nous, et bizarrement, je n’eus pas l’envie quelconque de me cachais à toute vitesse la tête derrière le crane d'Awi. Je le regardais plus attentivement, toujours un peu crisé au niveau de mes ailes. J'ai failli y passé tout de même !

- Inutile de t'excuser. C'est ton... ami, tu le défends, je le comprends tout à fait.

Elle avait hésité sur le mot "ami"... Elle n'a pas d'ami ? Ou alors elle n'aime pas les aras ? Bizarre...
Elle se leva et fis quelque pas vers la gauche, avec une tête de personne, mais alors, pas du temps contente de ce qui vient de passé. Je croix même qui si elle m'avait tuer, elle aurais pris un plaisir à me manger ! Brrr... Un rayon de soleil vint illuminer son pelage d'or et de flamme flamboyante, comme si son pelage prenais une danse de flamme. Elle renifla l'aire, agacée de ce qui ce passé. Elle avait toute sa fourrure ébouriffé comme si elle venais de ce battre, ce qui dans un certain sens, n'est pas faux. Elle vient juste de ce battre avec son repas. Moi. Vraiment cool. Elle arriva vers nous en grognant, vraiment de mauvais poil... Euh, pas contente. Et elle fouetta de sa queue mon amie, tout en grommelant avec un regard foudroyant :

- Maintenant, excusez-moi, mais j'ai un déjeuner à dégoter.

Ho... Elle avait faim... Et j'étais bien son dîner ! Brrr... J'ai de la chance moi...
Elle s’éloignait, outrait. Je la comprenais, si on m'avais mordu pour me prendre ma noix de coco, j'aurais sens doute pas vraiment aimer. Mais là, j'étais quand même un peu furieux. Elle avait failli me manger bon sang ! Me manger ! Je comprends qu'elle est faim, mais pourquoi moi ? Je n'ai rien fais de mal, non ? C'est pas grave. Au moins, je suis vivant. Mais je commençais aussi à ressentir de l’empathie pour cette renarde. Je me sentais dans le besoin de l'aider. Au moins ça non ? Et puis, je l'ai mordu par peur. Je ne voulais pas réellement lui faire mal. Je sais pas moi, mais imaginer que vous cuisinez et qu'un tigre vous fonce dessus, vous le poignardez avec le couteau par peur non ? Même si il a juste envie de jouer ? Bah là, j'ai fais pareil. J'ai eu peur, je lui est fais mal.
Ma petite guêpe et mon papillon me parler dans ma tête. Pendant quelque minute. Mais, à la déception de la guêpe, c’était le papillon qui gagna. Et une idée horriblement dangereuse me passa à la tête à la suite de ça.
Je fronçais de sourcil, me demandant, si, cette idée était réellement une "Bonne Idée". Mais là, je ne réfléchis pas, et je m'envolais sans me posé de question. Je t'avais lassé avec Awigen cher Journal. Je voulais pas te laissé tomber en vol. Et je volais haut, très haut dans le ciel. Juste au dessus la couche des nuages. Cette zone est très dangereuse. Pourquoi me diriez-vous ? Sachant qu'il n'y a plus d'avion depuis longtemps. Bah tout simplement car il y a peu d'oxygène. Et je dois évité trop d'effort de ma part, question de survie. Je regardais donc partout ou je pouvais regarder. Et je finis par voir un champs d'arbre, pas comme les autres verts qui sorte du sol. Je me dirige à toute vitesse vers eux. Comme si ma vie en dépendais.
Arrivé au sol, je vois des fruits oranges à l'aspect assez pulpeux dans les arbres verdoyant de vie. Je me dirige donc vers le fruit qui ce trouve être des pêches. Ces fruits sont tellement bon ! Bref. J'en ramasse 6 dont j'enlève le noyaux et je repars dans le sens inverse à toute vitesse. Je croise Awigen qui n'a pas l'air d'avoir bouger. Avec la vitesse que j'ai pris lors de décente, même si elle avait parler, je ne l'aurais pas entendu. Et je continuais mon chemin, zigzagant entre les arbres minces. Comme dans un labyrinthe sans fin. Je retrouvais enfin la renarde de feu, qui était toujours aussi crispait. Je fonçais à toute vitesse, remonter vers le haut et atterris en face d'elle, avec un petit recule qui laissa de trace dans le sol meuble.
Je la regardais, et commençais à me dire que c'était une trèèèèès mauvaise idée... Je la regardais et déglutis. Elle n'avais pas l'air très contente de me revoir. Je pense. J'en suis certain.
Alors je pris les 6 pêches que j'avais pus prendre et les déposa à ses pattes dans un ultime espoir...

- Pardon...

Elle avait l'air totalement perdue. Je la comprends, j'aurais était pareil à sa place. Mais je devais m'excuser pour son museau, je ne voulais pas qu'elle vois en moi un monstre plumeux qui la mort comme ça alors que je l'ai fais par pur peur. Par réflexe de survis dira-t-on. Elle baissa son museau sur les fruits, pas vraiment confiante. Elle n'aime pas les oiseaux. J'en suis sure. Sinon elle ne serait pas sur ses gardes comme ça. Je me demande pourquoi elle a autant peur des oiseaux... Je le saurais peu-être, après tout. Quoi qu'il en soit, elle releva la tête et je vis moi aussi une ombre ce dessiner juste derrière elle. Awigen. Oh ! Je l'avais oublié... Zut alors. Bon, c'est déjà ça, elle nous a retrouvait. Mais ce qu'elle dit me surprit encore plus...

- Pardon.

Ah bah je suis pas seul dit-donc !
La renarde tourna la tête de mon coté, vers Awi pendant quelque seconde, bouche bée. Elle n'avait plus un mot à dire, comme si on venait de lui dire qu'elle allais ce marier et avoir beaucoup d'enfants. C'est un exemple bien sur ! Mais elle n'avait vraiment rien a dire et à penser, ça se voyais dans ses yeux. Je la comprend un peu. Voir un ara lui apportait des fruits pour la pardonner et une renarde argentée arrivait pour lui dire pardon elle aussi, c'est quand même assez étrange. Enfin bon, pour moi rien n'est réellement étrange. Je vais finir par m'habituais non ? J'espère. Ma fois.
Elle soupira et dit, un ton assez désoler en gueule.

- C'est moi qui m'excuse.

Elle me fixa intensément dans le fond des yeux et continua.

- Je n'aurais pas dû te sauter dessus comme ça.

Elle l'avait dit d'un ton tellement sincère. Wouaw... Je la regardais un peu penaud. Elle fit quelque chose qui me surprit encore. C'est mon jour. Elle pris deux pêches et les posa devant Awigen, et les deux autres devant moi, pour qu'elle n'en garde plus que deux pour elle. C'est très gentil de sa part, je pensais qu'elle serait plus impulsive que ça. Elle a l'air assez, calme en faite. Je pensais que c'était le genre d'animal qui s'énerve facilement. Elle a plutôt l'air détendue. Ça me plaît. Je me disait mien que je pouvais l'apprécier à sa juste valeur. Elle a l'air amical au fond. J'aimerais beaucoup engager une conversation avec elle. Mais je n'eus pas le temps de dire quoi que ce soit qu'elle s'assit à coté de ses pêches et demanda, curieuse.

- Au fait, moi c'est Vitany. Et vous ?

Vitany... J'aime bien ce nom ! Très jolie !
Elle ne put résister à manger une de ses pêches. Elle pencha la tête vers l'une d'entre elle est l’engloutit, d'un coup. J'eus un frisson de quelque fraction de seconde et bannis la penser dans ma tête qui me disait que ça se trouve, la pêche, ça aurais pus être moi. Mais non, le destin n'avais pas choisi ça, et je suis bien heureux de le prouver ! Je la regardais avec une étrange compassion, comme si j'étais heureux. Plus, je suis heureux. Elle releva la tête vers nous, vive. Ça fait du bien de voir quelqu'un de joyeux. Elle nous regardais. Je levais mes ailes et m'étirais. Puis je pris un des fruits dans ma patte droite et commençais à le manger, petite becter après petite becter, comme un moineau. Je dois dire que je n'avais pas très faim. Mais je finis par l'avaler et déclara, encore le jus du fruit rosé sur mon bec :

- Je me nomme Atlas. Je suis un ara macao de 22 ans. Avec mon amie, Awigen, nous étions en train de voyager ensemble. Elle m'a parler d'une amie qu'elle devait retrouver qui s'appelle Masha mais on s'est égaré. Je me coupais quelque seconde. J'aime bien le nom Vitany.

Je la regardais au fond des yeux. Et je me continuais.

- J'adore la couleur de vos yeux, c'est très original ! Et sans vous posez de question indiscrète, mais êtes vous une renarde argentée comme ma Perchoir ? Et d'où venez-vous ? Prenez votre temps.

Je regardais maintenant Awigen, lui donnant le feu go.

Je n'avais pas remarquer qu'Awigen avait pris la parole pendant mon récit. Quoi qu'il en soit, elle parla de plus belle.

- Pareillement ! On dit de cette couleur d'yeux qu'ils sont vairons apparemment.

Vairon ? Je me coucherais moins bête ce soir.
Elle hocha la tête, en souriant. Mais je vis son visage ce couvrir d'un voile sombre. Elle était triste. Je plissais des sourcils. Je n'aimais pas voir les gens souffris devant moi. Surtout quand on ne peut pas les aidés. On s'était moquer d'elle par le passé à cause de ça ? Je ne pense pas... Si seulement je pouvais lire dans ses pensés. Je me sentais tellement inutile face à elle. Je voulais allé la voir pour l'aider mais elle secoua ça tête, comme pour éloigner ses sombres pensés et repris vie d'un coup. Awigen reprit la parole vite fais, comme si elle ne c'était pas couper, ce qui est le cas.

- En fait je croix que c'est une renarde rousse, elle n'est pas comme moi tu vois. Son pelage change. Le mien aussi parfois, en été je crois que je prends quelques teintes rousses rouille.

Une Renarde Rousse... J'aurais du m'en douter ! Avec son prédigéré ! Je ne m'en suis même pas douter...
Awigen ce pencha sur ses pêches et commença à les mangée. Elle avait l'aire d'être sur un petit nuage ! Je l'aime bien cette renarde. Vitany eut un sourire magnifique. Presque... Normal. Son sourire normal était beau. Je l'aime bien. Il mélange le calme, la joie et l'espièglerie qu'il y a en elle. Drôle de mélange !

- Inutile de me vouvoyer, vous savez ! Je ne suis pas si vieille ! Ni très sage, d'ailleurs...

Mmh... Ça dépend. On peut être sage sans le savoir. Et la meilleur sagesse et l’ignorance. Et pour ce qu'il est d'être vieille, c'est sur qu'elle n'en a pas l'air ! Je pense pas qu'elle soit vieille. Loin de là. Quoi qu'il en soit, elle eut un petit sourire et continua, la tête vers Awigen.

- Par ailleurs, Awigen a tout à fait raison. Je suis une renarde rousse, et mes yeux sont qualifiés de vairons.

Elle ce tourna vers moi, toujours avec son sourire d'ange. Je la fixais dans les yeux. De très beau yeux d'ailleurs. J'aime bien cette "Renarde Rousse".

- Pour répondre à ta question, je viens d'une grande forêt de pins située à l'ouest de la Finlande. Il y a plusieurs mois, j'ai décidé de parcourir le monde. J'ai vu beaucoup de beaux endroits, et je dois admettre que la Chine et ses bambous m'amusent beaucoup !

Bambous ? Bambous... Chine, je sais ce que c'est, mais Bambous... Ah ! Peut-être qu'elle veut parler des branches vertes qui sorte du sol ! Je ne savais pas que ces choses s’appelaient des "Bambous"... Bah maintenant je le saurais !
Elle s'empressa d'engloutir la deuxième pêche. Elle avait l'air de beaucoup aimer ces fruits. Moi qui n’avait pas très faim... Mais j'ai peu être une idée. Je vis la fine silhouette de Vitany s'étirait avec grâce, comme un grand chat de flamme, de charbon et de neige. Malheureusement, je n'eus pas le temps de prendre la parole qu'elle demanda, curieuse :

- D'ailleurs, comment vous êtes-vous rencontrés, tous les deux ?

Hou, bonne question... Mais là aussi, je ne pus pas prendre la parole qu'elle déclara entre deux éclats de rire :

- Il faut dire que vous êtes un drôle de couple !

Couple ?! Nous... Nous ne sommes pas en couple !
Sous les plumes mon visage je devenais rouge, rouge comme une tomate ! J'étais totalement surpris de cette exclamation pour le moins étrange. Mes yeux étaient remplis de d'interrogation. Mais un ara une renarde ne peuvent pas être en couple ! C'est... C'est contre nature non ? Rien que de m’imaginais ça me faisait envies de vomir. Me me sentais entrain de tomber dans une fosse remplie de monstre assoiffé de sang. C'est quoi cette exclamation bon sang ! Je me sentais de plus en plus mal. Je me recrollais légèrement sur moi. La petite guêpe avait réussi à me faire craquer ! J'étais totalement confus. Mais pourquoi une question comme ça ? Attendez une minute... Elle m'a posé une question ! Je me secouais la tête comme pour me dire "Brrr... Arrête de penser à des truques bizarre Atlas !" et je pris la parole, en voyant que Awigen, elle aussi, avait l'aire perdue.

- Euh... Je... Hum hum. J'ai plus faim, prends ma pêche.

Oups... Je me suis trompé de discourt...
Je me levais et posa la pêche à ses pattes. Et pour bien lui faire comprendre, que oui je n'ai pas faim, je lui sourire et lui fis un clin d’œil. Puis je retournais à ma place et commença à parler :

- On c'est rencontrer vers les "Chutes du Niagara", en Amérique du Nord. J'étais partie à l'aventure pour trouver mes premiers amies depuis... Je regardais dans le vide, comme traversait par un fantôme. Je continuais en me secouant la tête, pour me réveiller. Un moment.  Je m'étais posé dans un endroit de ou le courant et moins fort et je me suis baigné. Et c'est là que l'on c'est rencontrer.

Je regardais Awigen dans les yeux et lui souris. Puis je retournais ma tête et dis avec un aire vexé :

- Et... Nous ne sommes pas en couple... Comment dire, c'est une Renarde et mon un Ara... C'est tout bonnement impossible.

Je baissais le regard. Le fantôme qui m'avait traversait revint. Kattie me manquait. Mes yeux fus couvert de voile sombre, mon sourire partie. Kattie et son sourire, elle qui m'a toujours compris et élevé. Elle qui m'a bercé quand j'étais triste. Elle qui a joué tant de fois avec moi. Elle qui m'a toujours vus comme son égale, elle qui m'aimait de toute son âme. J'étais un peu comme son fils pour elle. Et elle ma mère. Je redressais la tête et dis, perturbais par ma tristesse :

- Ta mère, elle est morte n'est-ce pas ? Je... Je te comprends. Je comprends ce que ça fais de perdre un être qui nous est chère...

Je la regardais, le plus au fond des yeux. Je voulais voir son sentiment avant qu'elle parle.