Nouveau jour, nouvelle chance, nouvelle vie !
Ça y est ! Ma nouvelle vie commence ! Je me suis décidé. Ça fais 2 mois et 11 jours que j'ai fuis mon passé, il est temps pour moi de le reconstruire. Et c'est décidé, je vais apprendre à connaître ce monde inconnue pour moi jusque là.
Je me lève donc de ma branche habituel, ma maison, mon nid. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que je ne vais pas regretter cette première aventure dans le Dehors !
Je me dresse sur mes pattes, je lève mes ailes et je m'envole dans un unique battement, celui de la liberté. Pour la première fois de ma vie, je vais exploré le Dehors. Je vais dépassé les limites de territoire que je me suis fixé il y a 2 mois et des tas de plumes. Je m'envole,  j'arrive à la limite. Je m'arrête, regarde derrière moi, je me secoue la tête, je passe. Ça y est. Nous y voilà enfin ! La liberté ! L'aventure !
Je prends mon temps, je regarde, j'observe, je contemple tout ce qui est à ma porté. Je suis explosant d'énergie ! Je suis heureux ! Je vois des plantes, vertes, fraîches du matin avec la rosé qui est encore dessus, comme celle dont m'avait parlé Kattie. Je vois aussi des arbres au tronc impressionnant, des anciennes maisons désolées au mur grisâtre qui me plaise moins. J’aperçois aussi des arbres fruitiers avec des fruits de toutes couleurs. Que ce soit rouge vif, passant par le jaune et l'orange, pour allé à un simple vert jaunâtre. Le soleil me suit dans mon périple. Je m'arrête quelque fois pour boire et manger, mais je reprends vite ma cours contre la montre. Je vole plus où moins haut, pour observé le sol. Le ciel, lui reste bleu saphirs.
Bientôt, je réalise quelque chose. La seul chose que je ne vois, pas un animal, ou un homme. Rien. Et ça fais bientôt 3h que je tourne en rond. Enfin je croix...
Je commence alors à me demander ce qui peux bien ce passé. Pourquoi je ne vois personne, et où suis-je. Je décide de m'arrêter. Pour voir où j'en suis.
Je me pose sur une branche solide de sapin, brun très foncé. Regardant autour de moi.
Je soupir. Rien.
D'un coup, je me rends compte que je ne m'entends plus pensé. J'étais tellement concentré sur ce qui m'entoure que je n'ai pas fait attention au bruit. J'entends donc un ramdam pas possible. Moi qui ne connais pas ce bruit, je sursaute sur le moment. Les ailes ouvertes, près à m’envoler au cas où. Puis, je me rend compte que le bruit ne bouge pas, et reste constant. Mon visage de ara ce met à afficher un regard étonnait, presque idiot. Le bec semi ouvert. Alors je me dis que je devrais allé voir par moi même. Donc je m'envole prudemment. Regardant tout ce qui m’entoure. Je m'envole assez haut, pour ne pas me faire manger par je-ne-sais-quoi-qui-ce-trouve-là-par-hasard.
J'arrive à la source du bruit. Je tilte.
Devant moi ce trouve quelque chose de magnifique, je trouve ça triste que je ne connaisse pas son nom. Donc devant moi ce trouve un étendu d'eau qui plonge vers une autre dans un bruit fracassant. L'eau est limpide, belle et translucide ! De couleur turquoise. L'écume des amas des vagues est blanche et ressemble beaucoup à un nuage qui s’éparpille un peu partout sur le deuxième courant d'eau plus bas. Le courant semble tellement fort ! Je ni mettrais pas une aile ! Mais vers le bas, il y a une espèce de rebord ou le courant et plus doux. Je fonce vers le bas pour me posé dans l'eau claire. Magnifique.
Je me pose dans l'eau, à un endroit proche du bord et peu profond histoire de ne pas me noyer, et en profite pour y rester un peu. Elle est à une température idéale pour moi ! Je décide de rester là un moment.

- J'ai de la chance on dirait ! J'ai trouvé le paradis !

D'un seul coup, je rouvre mes yeux que j'avais fermé il y a quelque seconde. Il y avait quelqu'un. Car j'avais entendue un CRAC. Alors je lance fermement, mes ailes déployaient :

- Montrez-vous !

Un crissement de feuille, et je vois une silhouette quadrupède ce dirigeais vers moi. Je vois donc mon premier animal du Dehors. Moi qui ne connais pas l’extérieur. J'ai souvent entendue parler de "Vache", de "Chien" ou encore de "Girafe" mais jamais ai-je vus un telle être vivant. Elle ressemble beaucoup à un chien, mais avec un museau allongé, et une longue que, des oreilles grandes dressé vers le haut et un air gracieux, très fine. Quant à ses couleurs, elle est noir, avec de magnifique reflet argenté qui me fond pensé aux vielles boucles d'oreilles que Kattie aimait bien me montré le soir, à coté de la cheminé. Cette couleur me rappelle la douce chaleur de la cheminé. Mais, ce n'est pas ça le meilleur, ses yeux était doré comme les flammes, des yeux vifs, plein de vie, magnifique. Je me sentais rassuré d'un coup, comme si cette personne n'avait rien de méchant, et m'était quelque peu familier. Pourquoi m'attaquait à quelque chose de familier ? Mais je restais sur mes gardes. Ne jamais ce fier au apparence.
C'est yeux était fixé sur mon plumage, comme éblouie par mes couleurs, elle me dit avec un ton presque neutre :

- Bonjour; je suis Awigen, renarde argentée. Je viens d'Asie mais j'ai mené un périple avec une grande amie, une chienne non dépourvue de beauté franchement gracieuse. Je me suis égarée d'elle en chassant un papillon - mais, vous allez me dire, tu es idiote ! Eh bien, vous avez tout à fait raison, mais qu'est-ce que j'y peux ? - ainsi, je recherche le bon chemin pour la retrouver, mais je ne suis pas anxieuse là-dessus. Je m'excuse de vous avoir dérangé, je peux partir sur-le-champs si vous le désirez.

Je parus choqué, j'étais choqué. Je pensais que sont approche serais différent. Mais finalement, c’était mieux que je ne pensais ! Je pensais plus à quelque chose d'agressif. Non je suis pas paranoïaque, mais on ne sais jamais. Après tout, je suis libre que depuis 2 mois et 12 jours...
Je fermais mes ailes, comme rassurais. Je connaissais son nom, et son nom animal. Je la regardais le plus attentivement possible, pour bien savoir qui elle est, sous toute ses coutures. En même temps, je n'avais jamais vus de "Renarde argentée". Je remarque que des tâches argentés ce regroupe vers son oreille droite pour formé un cercle, ainsi qu'un rond sur son dos. Le bout de sa queue et blanche avec des reflet d'argent. Ses pattes et son museau son noir comme le charbon qui crépite sous les flammes de ses yeux. Elle a une allure gracieuse et fine. Très belle "Renarde argentée".
Tout d'un coup, j'ai mal au yeux. Ça fait quelque dizaine de seconde que je la fixe intensément. Je me secoue la tête et ferme mes yeux. Puis la regarde et lui répond aussi courtoisement qu'elle.

- Excusé-moi. Il ce trouve que c'est la première fois que je vois une "Renarde argentée" et j'aime beaucoup contemplé ce que je vois. Je me présente, on me nomme Atlas. Enfin, vous me nommer Atlas, car vous êtes bien la première personne que je croise depuis... Je me tus quelque seconde. Depuis un bon moment ! Je suis de beaucoup plus bas au niveau de la région, vers les belles plaines de Montana. Mais je ne trouve en aucun cas que le faite que vous vous êtes perdue et idiot. Moi aussi je suis perdu. Je tourne en rond depuis des heures. Et je suis arrivé jusque là. Oh ! Et en aucun cas vous me dérangez. J'étais juste surpris.

Je me tus quelque seconde et repris.

- Vous pouvez me tutoyer. Il n'y a pas de soucis. Et si vous avez besoin d'aide pour retrouvé votre chemin, pas de soucis. Je peux vous aidé facilement par le vois aérienne. Sauf si vous voulez que l'on fasse connaissance, ce qui ne me déplairai pas !

Je restais dans l'eau, en attendant un petit peu.

J'eus à peine remarquer qu'elle avait rangée sa queue et qu'elle était assise qu'elle me répondit avec un largue sourire, la queue agitait lentement, en ce balançant un peu sur elle même :

- Nous nous occuperons de moi après ! Échangeons un peu avant ! J'ai l'impression que vous êtes très gentil.

Ses yeux arrivèrent vers les mieux. Il brillait de détermination. Comme un flamme qui ne s’éteint pas. Pleine de vigueur et de vie. Je la fixait intensément dans les yeux, comme elle. J'aime bien cette petite. Je croix que j'ai de la compassion pour elle. Mais je n’eus pas le temps d'ouvrir le bec qu'elle prit la parole.

- D'où vient cette couleur d'yeux étrange ? Vous avez des gênes particulières ?

J'étais surpris. Je ne m'attendais pas à ça. Loin de là. Alors je tournais la tête vers l'eau, comme si j'avais perdu la mémoire. Et je regardais mon reflet dans le liquide un turquoise limpide. Je me souviens enfin, comme si ma mémoire avait perdu un peu de mes souvenir sur le moment. Je redressais la tête et me positionnais en avant, comme pour montrer quelque chose qui ce trouver dans l'eau à la renarde d'argent et d'or. Et je lui répondit avec assez de grasse :

- Sachez, que je suis un ara macao, et que par conséquent, cette couleur est rare. Il faut savoir que mes congénères – si j'en ai encore... - ont, pour la plus par, les yeux or. Mais je sors de la norme. Il y a bien pourtant des aras qui ont des yeux bleu. Mais aucun d'eux ne les a comme moi...

Je tournais la tête vers l'eau. Me posant pour la premier fois cette question : "Suis-je le seul ara macao ?". Je me crispais. Et si, j'étais le seul ? Le seul ara macao ? Ce n'est pas possible. Alors je me secouais la tête, comme déranger par une guêpe invisible. Une guêpe qui veux me faire du mal, me dire du mal. Pour que je perde espoirs. Pour que je sois triste. Je m’efforçais de ne pas l'écouter, cette maudite guêpe. Et je me redressais. Et je fis quelque chose qui m'étonna grandement :

- Je... Veux-tu te baigner ? Elle... L'eau est bonne.

Mais pourquoi je demande ça moi ?! Je suis bête au quoi ?! Purée...

La renarde, que dis-je Awigen, affichais un regard surpris... Je m'en doutais un peut. Il faut dire que voir un ara vous demandez si vous voulez vous baignez alors que vous le rencontrez à peine, c'est assez étrange ! Bon après, elle avait pas l'air d'être surprise pour ça, non. On aurait dis qu'elle réfléchissait sur quelque chose d'inutile. Vas savoir pourquoi...
Mais elle finit par s'avancer, avec un air déterminer. Elle s’engouffrait dans le liquide limpide et turquoise hésitante. Elle finit par entrer totalement sauf la tête avec un frison. Pourtant, l'eau n'est pas si froide que ça. Mais bon, après c'est ça perception. Et elle releva ses yeux flamboyant et me dit aussi tôt.

- C'est étonnant qu'elle soit "chaude". La planète doit être vachement déréglée pour qu'il y ait des changements climatiques tels quels.

Ça c'est sûre, il doit y avoir de grand changement ! Non parce qu'il faut savoir qu'un ara macao, ou même tout ara n'aime pas vraiment le froid. Enfaîte, quand il fait trop froid on peut mourir. Et là, l'eau n'est pas si froide que ça. Elle est plutôt agréable comme elle le dit si bien. Et elle commença à ce rapprochais de la petite colline sur la qu'elle j’étais, car elle est assez basse pour que je puisse être dans l'eau sans me noyer. Elle nageait doucement, les quatre pattes qui s'agitaient dans tout les sens. Drôle de nage ! Et je gloussais légèrement en la voyant. C'est assez drôle, croix moi chère Journal.
Elle finit enfin sur le bord, et son pelage ruisselait d'eau. Je la regardais dans le yeux, sans faire attention au reste de ses mouvements. Et je lui répondis, aussi calme que d'habitude.

- Oui c'est assez étrange. Elle ne doit vraiment pas allez très bien. Surtout au printemps quand il fait encore frais.

Je la regardais à ne pas m'en laçais. C'est pas que j'aimais ça, c'est juste que ses yeux me rappel beaucoup Kattie... Et aussi que j'aime regardé ce qui m’entoure ! Parce que sans ce sens, je serais mort. Ma vie ne me servirais plus à rien. Je ne peux pas vivre sans voir, je ne peux pas voir sans vivre. Alors je regarde. Je regarde tout ce que je peux voir. Je regarde même ce qui n'existe pas. Et je prends le temps qu'il faut pour voir. Je ne veux pas aller vite, je ne veux pas juste regarder. Je veux faire au delà, je veux voir ce qu'il y a au dessus des apparences. Alors je regarde. Toujours et encore. Et je ne m'arrêterais pas. Non. Jamais.
Qu'est-ce que... J'ai mal au yeux...
Je finis par cligné des yeux, je suis en train de trop la fixait. Ça doit l’embarrasser... Je me détachais un petit peut de la silhouette de la renarde. Et je me tournais sur le coté, regardant les chutes. J'écoutais leur bruit fracassant. Et je restais là.

- C'est beau hein. J'adore ce paysage. Tu sais ce que sont ces... Choses qui fond du bruit ? Je suis désolé de te poser cette question idiote, mais je ne connais pas vraiment le Dehors...

Ma dernière phrase avait un air assez... Mélancolique ? Cette berceuse fait un drôle d'effet sur moi. Je plissais les sourcils, enfin, je fais cette air là quoi. Et mon regard ce perdis dans le vide.
Je me tournais vers elle d'en un éclair et je fis la chose la plus insensé qu'il soit, je l’arrosais avec de l'eau. Pour vus qu'elle ce prenne au jeu.