Je me nomme Vitany et je suis une renarde rousse. Je suis de nature assez... enfantine, disons. Je suis très curieuse ; j'adore explorer de nouveaux horizons et découvrir de nouvelles personnes. Je suis joueuse (il m'arrive d'attaquer une feuille volante juste pour m'amuser) et toujours pleine d'énergie. Je passe souvent mes journées à vagabonder dans les bois, sautillant de-ci de-là, escaladant un arbre ou un rocher, ou piquant un sprint à travers une plaine... Car oui, je suis bonne grimpeuse et je cours vite.  
Sans me vanter, je suis aussi une relativement bonne chasseuse. J'aime particulièrement attraper les oiseaux. Peut-être est-ce une forme de revanche personnelle, peut-être pas, je m'en fiche. Attraper des oiseaux me procure toujours une grande satisfaction.
Je n'aime pas parler de ma famille. Je suis très discrète à ce sujet, et si quelqu'un commence à m'en parler ou à me poser des questions, je me referme comme une huître. Je porte toujours en moi le chagrin d'avoir perdu ces êtres qui m'étaient chers, et cette douleur ne partira jamais.
Avec mes amis, je suis affectueuse et toujours prête à rendre service. J'adore faire la course ou chasser en leur compagnie.
J'ai horreur des gens arrogants ou trop collants. Mais ce qui m'énerve au plus haut point, ce sont les mâles qui croient être de grands séducteurs...!
De plus, j'ai une peur panique des eaux profondes, et une peur relative de l'eau en général (sauf la pluie, évidemment...). Je ne sais donc ni nager, ni pêcher. Par moments, lorsqu’il y a un grand point d’eau à proximité, plus particulièrement un torrent, des images de mon passé viennent troubler mon esprit et me hanter.  Les hommes aussi me flanquent la frousse. Je les trouve terrifiants et monstrueux. Je ne sais pas ce que je ferai si je venais à en croiser un autre.
Je suis née en Finlande, dans une belle forêt de pins, et il y a peu, je l’ai quittée pour partir explorer le monde. Je suis partie vers l’est, vers le soleil levant, et je voyage encore.

Meilleur(e) ami(e)  [0/1]
Avec toi, je partage tout. Nous nous respectons et nous aimons profondément ; et notre lien est trop puissant pour se briser. Tu sais tout de moi, mon passé, mes peurs, mes forces et mes faiblesses, et je sais tout de toi. Je ne te laisserai pas tomber, je serai toujours là si tu as besoin de moi, et je sais que tu feras de même.

Ouvert à tous

Amis  [3/∞]
Y a-t-il plus explicite ? Vous êtes mes amis. J’apprécie passer du temps en votre compagnie ; nous rions, nous chassons ensemble, nous passons des bons moments. Parfois, nous partageons quelques secrets, parfois nous échangeons sur la pluie et le beau temps. Notre amitié est forte, mais pas sans failles. Nous ne sommes pas à l’abri d’un désaccord ou d’une dispute, cependant nous réussissons la plupart du temps à nous rabibocher rapidement. Je vous fais confiance, bien sûr, et il me semble que cette confiance est réciproque. Je vous apprécie, vous m’appréciez. Nous sommes amis, tout simplement.

Ouvert à tous

Ennemis [1/∞]
Franchement, je vois pas pourquoi j’explique, c’est clair comme titre… Vous, je préférerais que vous restiez loin de moi. Je ne vous apprécie pas, loin de là, je vous déteste carrément. Pourquoi ? Pour telle ou telle raison. Une insulte à ma famille, une blessure que vous m’avez infligée, un trait de votre caractère que je ne peux pas supporter… Quelle importance ? Je vous déteste, et vous me le rendez bien. Pour certains, je préfère vous ignorer, pour d’autres, je rêve de planter mes crocs dans votre gorge. On évite de se croiser, mais quand on se rencontre, c’est… explosif. Il nous arrive de nous battre, c’est même plutôt fréquent, et les insultes fusent souvent de toutes parts.

Ouvert à tous

Compagnon de route [1/1]
Comme ce titre l’indique, nous sommes compagnons de route. Nous sommes de bons amis, voyageant ensemble, découvrant de nouveaux horizons. Nous ne nous disputons que très peu, et même alors, nous nous réconcilions rapidement. Parfois, nous me donnons l’impression d’un vieux couple ; s’entendant bien, inséparables malgré quelques houles. Mais nous ne sommes pas en couple, hein, ne vous faites pas de fausses idées !

Fermé

Compagnon  [1/1]
Tu es l’amour de ma vie, tout simplement. Je n’aurai jamais pensé pouvoir mettre ma fierté de côté et te l’avouer un jour, mais je l’ai fait, et depuis j’ai l’impression de vivre un rêve.  Quand je te regarde, je plonge et je me noie dans tes prunelles. J’aime ton odeur, ta voix, ta personnalité et ton sourire. Je te voue une confiance aveugle, et sans toi, je me sens creuse. Je vis désormais à tes côtés et jamais je ne te quitterai, ça tu peux en être sûr. Je t’aime…

Fermé

Aguicheuse [0/1]
Toi, je t’ai rencontré à quelques occasions, je te connais plus ou moins bien. Mais lorsque tu as rencontré mon compagnon, tu as commencé à lui tourner autour, à lui faire des grands yeux de biche, à roucouler sur son épaule. Et juste sous mon nez, en plus ! Je t’ai prévenue d’arrêter, mais évidemment tu ne m’as pas écoutée. Tu as poussé le manège encore plus loin. Alors je t’ai confrontée, en présence de mon compagnon, que tu tentais de séduire. Et comme il a pris mon parti, tout ce que j’ai pu voir, c’est que tu ne l’as pas du tout bien pris. Puis tu as disparu dans la nature. As-tu désormais des envies de meurtre, à mon sujet ou à celui de mon aimé ? Es-tu tombée dans une sombre déprime ou dans une jalousie maladive ? Je n’en sais rien. Peut-être même as-tu complètement oublié cette histoire et es-tu à présent en couple. Quoiqu’il en soit, ne t’approches plus de mon amour, ou tu auras affaire à moi. Tu es prévenue.

Ouvert aux canidés ♀

Don Juan [0/1]
Quand je t’ai rencontré la première fois, tu m’avais semblé honnête et aimable. Puis, tu as commencé à jouer le séducteur, souriant de tous tes crocs. Au début, je n’y prêtais pas attention ; mais peu à peu, tes approches étaient plus directes et plus intrépides, presque insolentes. Je t’ai repoussé une première fois, t’expliquant gentiment que j’étais déjà avec quelqu’un, mais tu es revenu à la charge. Chaque fois que je t’envoyais bouler, tu revenais, toujours plus frustré et de plus en plus perfide. J’ignore comment notre relation houleuse se terminera, mais fais attention, la patience de mon compagnon et la mienne ont leurs limites.

Ouvert aux canidés ♂

Cauchemar [0/1]
Toi, je te connais sans te connaître. Je t’ai vu une fois, une seule, mais tu t’es gravé dans ma mémoire à tout jamais. Ton odeur, ton regard… Je te reconnaîtrai entre mille. C’est toi, l’humain de mes cauchemars. C’est toi qui as tué ma mère. Si je te retrouve, je ne sais ce que je ferai. Peut-être te fuirai-je, encore terrorisée par ta violence et l’horreur que tu m’inspires, ou peut-être t’attaquerai-je, cherchant vengeance pour la vie que tu as arrachée à moi. Tu me terrifies autant que tu nourris ma haine pour toi et ton espèce remplie de monstres. Je te hais comme je n’ai jamais haï personne. Chaque jour, je prie pour ne pas croiser ton chemin. Mais avec la chance que j’ai, ça finira bien par arriver…

Ouvert aux hommes ♂

Petiots [0/2]
Vous, vous êtes deux toutes petites choses, naïves et sans défense. Je vous aime comme mes petits frères et sœurs, et je vous protégerai toujours. Je suis parfois sur votre dos, à vous surveiller et à vous réprimander de temps en temps. Comme je l’ai dit, je vous considère comme mes petits frères et sœurs, alors je me sens responsable de votre éducation et de votre sécurité. Et si vous me trouvez trop envahissante parfois, je m’en fiche ; pas question de vous perdre comme Kino.

Ouvert à tous ceux de moins de 2 ans

©ode par TheLouve